Alors que son parti politique a dénoncé l’encerclement de la résidence de Katumbi à Kashobwe pendant la journée de ce lundi 8 janvier, par des « militaires lourdement armés », le gouverneur du Haut Katanga apporte un démenti formel à cette information. Jacques kyabula parle dune erreur qui ne va plus se répéter.
« Aucune instruction n’a été donnée dans le sens de restreindre la liberté de circuler de qui que ce soit à Kashobwe. Dès que nous avons appris ce faux pas commis par quelques éléments des forces de l’ordre dépêchés, du reste, dans cette partie de la Province du Haut-Katanga en vue de dissuader les velléités de certains compatriotes à vandaliser les biens de leurs adversaires politiques, nous avons immédiatement ordonné la levée de cette barrière, chose qui a été aussitôt faite. Au demeurant, nous condamnons ce malheureux incident, c’est ainsi que les responsabilités des uns et des autres seront établies pour que pareil cas ne se répète plus », a écrit l’autorité provinciale sur les réseaux sociaux.
Moïse Katumbi est arrivé deuxième à la dernière élection présidentielle dont il conteste les résultats. Il a appelé à l’organisation de nouvelles élections et a invi9la population à contester pacifiquement sur base de l’article 64 de la constitution.
|Par Arsène MPUNGA