Le Président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) en République démocratique du Congo, Denis Kadima, a présidé ce mercredi 18 octobre 2023, une réunion de la plénière de l’organisation chargée des élections. Deux points figuraient à l’ordre du jour de cette réunion : l’examen, l’adoption et la publication de la liste provisoire des candidats à la présidence de la République, ainsi que l’analyse de la problématique de l’enrôlement dans les zones de Masisi, Rutshuru et Kwamouth.
Lors de cette réunion, les membres de la CENI ont passé en revue et discuté de la liste provisoire des candidats à la présidentielle de 2023. Il s’agit d’une étape importante du processus électoral, car la liste définitive des candidats sera établie sur la base de cette liste provisoire. Après examen et adoption, la CENI procédera à la publication officielle de cette liste, permettant ainsi aux citoyens de prendre connaissance des noms des candidats potentiels à la plus haute fonction du pays.
Par ailleurs, la problématique de l’enrôlement dans les régions de Masisi, Rutshuru et Kwamouth a également été abordée lors de la réunion. Il s’agit de zones où le processus d’enrôlement des électeurs rencontre des difficultés particulières. Cette analyse vise à identifier les obstacles rencontrés et à proposer des solutions pour garantir la participation électorale de tous les citoyens de ces régions.
La réunion de la plénière de la CENI sous la présidence de Denis Kadima montre l’engagement de l’organisation à mener à bien les préparatifs des élections de 2023. L’examen, l’adoption et la publication de la liste provisoire des candidats à la présidence sont des étapes cruciales pour assurer la transparence et la crédibilité de ces élections. De même, l’analyse de la problématique de l’enrôlement dans les zones spécifiques souligne l’importance de garantir la participation de tous les citoyens dans le processus démocratique.
La CENI continue ainsi de travailler activement en vue des prochaines élections, veillant à ce que tous les citoyens congolais puissent exercer leur droit de vote dans des conditions équitables et transparentes.
|Par Justin KANKONDE